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 Y'a des jours où tout le monde à la gerbe... (libre)

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MessageSujet: Y'a des jours où tout le monde à la gerbe... (libre)   Y'a des jours où tout le monde à la gerbe... (libre) EmptyDim 19 Avr - 15:36

Cet après-midi, Hayden avait lu Kant dans le parc de la ville, chose exceptionnelle chez lui, mais l'endroit était calme, car c'était en semaine et presque personne ne s'y pressait. Assis sur un banc, le long d'une allée bordée de pelouses vertes et soigneusement entretenu, au soleil pâle du printemps, le jeune homme un peu pâle s'était beaucoup posé de questions sur celles soulevées par le philosophe, posant parfois son livre sur les genoux, regardant au loin, fermant les yeux,  profitant enfin de l'instant présent, au point d'oublier que les Anglais pouvaient vouloir sa mort. Wicklow était une charmante petite ville, avec un programme ambitieux de réhabilitation pour les anciens prisonniers. Mais à son sujet à lui, les gens d'ici ne connaissaient rien, non, car il venait d'une prison anglaise.

Il se leva, fit quelques pas lents dans l'allée, s'amusant des premières ombres laissées par les arbres dont les feuilles commençaient tout juste à sortir, trop vertes, trop éclatantes, renvoyant à l'envie la lumière, les rendant presque éblouissantes, presque autant que l'allée. Hayden traversa un petit pont, lut quelques phrases de son livre, savoura encore une fois l'instant, et marcha de nouveau en réfléchissant aux fonctions de la raison pure... celle qui légitime les connaissances théoriques, et celle qui permet à l'homme raisonnable des actions libres et morales. Cela pouvait-il souffrir la critique de la raison pure ? bien entendu ! mais quand à la théorie de la raison... c'était un délice de se perdre dans de telles pensées. Bien sûr, en prison, seul, dans sa cellule, Hayden avait eu le temps de réfléchir à cela, mais sans pouvoir consulter de livre, et encore moins à tout moment, comme il le faisait à présent ! cela permettait de conserver un ancrage dans la pensée, qui autrement, se mettait à vagabonder sur d'autres sujets, glissants doucement jusqu'à perdre son philosophe.

Comme le soleil se couchait, Mitchell quitta le parc, prit le bus jusqu'à l'hôpital, où il se changea et laissa son livre dans son casier dûment fermé à clef. Ensuite, il alla chercher son matériel, chariot multi-usage permettant de transporter aussi bien un seau plein d'eau savonneuse, que des balais, des sacs, des gants... et toutes sortes de produits. Les lumières tranchantes des couloirs ne permettaient aucun doute : il était temps de travailler. Il commença aux urgences, comme l'indiquait le planning et lava les salles 2 et 3 dès qu'elles furent libérées. Quelqu'un criait dans le box 6, la douleur... Oui, Mitchell la connaissait bien, vieille compagne...

Méthodique, Hayden avait enfilé ses gants jaunes et après avoir ramassé les compresses usagées ou les films protecteurs, il balaya et passa la serpillère. Après avoir changé l'eau dans un réduit réservé au ménage, il revint avec un aceptisant dans sa flotte, pour nettoyer à nouveau. Le sol était vite sec, à cause de la chaleur particulière aux établissements hospitaliers.. Quelqu'un vomit dans le box 7... Mitchell n'attendit pas et se présenta pour ramasser.
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MessageSujet: Re: Y'a des jours où tout le monde à la gerbe... (libre)   Y'a des jours où tout le monde à la gerbe... (libre) EmptySam 25 Avr - 15:26


Raphael StarkHayden Mitchell
Y'a des jours où tout le monde à la gerbe...


Raphael avait passé une mauvaise journée. Des clients étaient venus chercher les ennuis. Elle s'était très vite enflammée et l'histoire avait faillit se terminer en baston, si quelqu'un n'était pas intervenu.

Elle rentra chez elle, exténuée et en colère. Elle ne savait pas quoi faire, et avait envie de se changer les idées. Elle sortir un bouteille de whisky de son placard, s'en servit un gros verre qu'elle but cul sec. L'ancienne détenue avait envie de se sentir partir, d'échapper à la réalité, c'est pourquoi elle fouilla dans son placard à pharmacie et avala des médicaments qui avaient à peu près le même effet que certaines drogues mélangés avec de l'alcool. Elle savait pertinemment qu'elle se réveillerait dans un sale état le lendemain, mais elle s'en fichait. Tout ce qui comptait, pour le moment, s'était de partir, loin, très loin. Elle mit un morceau de rock à fond et dansa à moitié tout en avalant des litres d'alcool. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas autant bu. Elle s'alluma une cigarette et en fuma à ne plus en finir. Son appartement se remplit d'une fumée opaque et d'une odeur de clope, mélangé à l'alcool et aux médicaments.

Elle s'effondra, complètement déchirée quelques heures plus tard. Elle ne prit même pas la peine de se déshabiller. Elle se réveilla vers 15h le lendemain, la tête dans les vapes. Elle tenta de se lever, mais tomba lourdement par terre. Elle transpirait à grosses gouttes et avait du mal à respirer.

- Et merde, jura t-elle.

Elle n'avait plus qu'à appeler les pompiers...

Raphael appela le numéro d'urgence. Elle tenta de se lever pour se remettre dans son lit mais retomba par terre. Elle sentit ses yeux la lâcher, et perdit conscience.

Elle reprit conscience dans l'ambulance qui l'emmenait à l’hôpital. Les ambulanciers lui demandèrent ce qu'elle avait prit. Elle réussit tout juste à marmonner :

- Des médocs et de l'alcool.

L'ambulance ne tarda pas à arriver à l'hôpital. Elle fut transporter dans un box au service des urgences. On lui fit tout un tas d'examen. Elle était dans les vapes et ne comprit rien à ce qu'on lui disait. Soudain, elle fut prise d'une envie soudaine de vomir et se pencha à temps par dessus son lit. Un aide-soignant arriva pour nettoyer.

- Désolé, murmura t-elle.
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MessageSujet: Re: Y'a des jours où tout le monde à la gerbe... (libre)   Y'a des jours où tout le monde à la gerbe... (libre) EmptyMar 28 Avr - 7:43

L'infirmière s'écartait pour me laisser passer et le jeune médecin se trouvait de l'autre côté du vomi. J'essorais mon balais, le passais sur la chose infâme aux yeux de beaucoup, et qui était mon quotidien depuis un bon bout de temps... avant de le replonger dans le liquide savonneux et de recommencer. Nous manquions d'agents de nettoyage en ce moment, et le tableau m'avait clairement mis à ce poste pour la semaine à venir : quelle chance ! Je portais pourtant le sarrau des aides-soignants. Le médecin me regarda, sans réaction, ni dépité de me voir ainsi, ni surpris. La patiente avait l'air bien à l'ouest... qu'avait-elle donc bu ? je sentais l'alcool qui l'imprégnait littéralement. Peine de coeur ? besoin d'oubli ? certaines personnes avaient dix mil raisons de boire, et les autres n'en manquaient pas une. En fait, je me fichais qu'elle soit dans l'un ou l'autre cas.

- Docteur ! Docteur ! venez vite ! un accident de voiture, un homme, 30 ans,...

Déjà le médecin filait, entrainant l'infirmière avec lui et m'ordonnant de rester avec la patiente, qu'il enverrait quelqu'un...

Seul. Avec la jeune femme... je terminais ma tâche en silence, jetant de temps en temps un coup d'oeil sur la fille. Après avoir garé mon chariot dans un coin et m'être passé les mains au gel tueur de bactéries, truc infâme et rédhibitoire en milieu hospitalier, je me tournais vers la patiente :

- Bonjour. Je suis aide-soignant... je vais vous poser quelques questions en attendant qu'une infirmière vienne s'occuper de vous...

La voix douce et rassurante, le regard attentif et bienveillant, j'avais revêtu mon uniforme de personnel soignant en me demandant combien de temps on me laisserait seul avec l'alcoolique. Je connaissais mon rôle, laissant quelques minutes à la jeune femme pour intégrer ma présence et ma fonction ici. Mon badge clamait mon nom : Hayden Mitchell.

- Je m'appelle Mitchell, dis-je en m'approchant du lit.

Désormais, j'étais tout près.

- Puis-je prendre votre poignet ? pour vérifier votre rythme cardiaque, précisais-je.

Toujours demande l'autorisation au patient de le toucher, et lui expliquer le pourquoi de ce qui suivrait, le prévenir, l'informer, le rassurer,... Dans ces cas là, la colère n'existait plus en moi... Bien sûr, il arrivait qu'il faille intervenir en urgence et qu'on ne prenne pas de temps à papoter... Je retournais la petite montre suspendue à mon sarrau pour faciliter l'examen. J'ignorai tout de la patiente...

- Puis-je vous demander votre nom ? et ce qui vous amène ici ? Ce sont les pompiers qui vous ont transporter, c'est cela ? avez-vous fait un malaise ?

Je pouvais faire çà et compter les battements de coeur... enfin, si elle me laissait la toucher... autrement, c'était une entrée en matière, pour établir un semblant de lien toujours nécessaire aux soins à venir. Enfin, qui améliorait la situation, en tout cas. Ensuite, je lui demanderai ce qu'elle avait pris, si elle vivait seule... bref, je prendrais mon temps, et cela devrait la rassurer, en principe. S'il n'y avait pas d'autres urgences pour me faire courir à l'autre bout du couloir... si, si, si... c'était cela, les gardes en milieu hospitalier. Un planning à respecter et pourtant une multitude d'incidents à gérer... et des hommes, des femmes, des drames, des bobos,...
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MessageSujet: Re: Y'a des jours où tout le monde à la gerbe... (libre)   Y'a des jours où tout le monde à la gerbe... (libre) EmptySam 2 Mai - 14:47


Raphael StarkHayden Mitchell
Y'a des jours où tout le monde à la gerbe...


L'aide soignant dit s'appeler Mitchell comme son badge l'indiquait. Il demanda à prendre le poignet de Raphael pour vérifier son rythme cardiaque. Elle avait horreur qu'on la touche et encore plus des formalités de l’hôpital, mais elle n'avait pas le choix, elle devait s'y plier. Et puis, le jeune garçon avait l'air plutôt sympathique. La malade en profitait pleinement pour observer à sa guise les contours de son visage. Il avait une barbe de quelques jours qui le rendait craquant et ses cheveux frisés qui lui arrivaient à la nuque lui allait à merveille.

- Oui, oui, faites, marmonna t-elle.

Puis, il commença à lui poser des questions un peu plus intimes qui agacèrent Raphael. Elle n'avait pas envie de se plonger dans des explications sur ce qu'il s'était passé hier soir. Elle n'avait qu'une envie ; que tout ceci ne soit qu'un mauvais souvenir pour pouvoir rentrer chez elle. L’hôpital n'était pas le lieu des plus plaisants qu'il soit.

- Raphael. Le reste vous regarde pas, dit-elle sèchement pour lui faire comprendre qu'elle n'avait pas envie de parler.

Elle avait conscience qu'il ne lui demandait pas cela pour l'embêter, mais pour pouvoir la soigner. Cependant, elle savait très bien qu'il n'y avait rien à faire à part laisser le corps dissiper l'alcool et et les médicaments. Raphael s'en voulait d'avoir appelée les secours et se demandait de quelle utilité cela était. Elle avait vraiment envie de partir et se voyait mal passer plus de temps ici. La demi-heure qui venait de s'écouler lui avait suffit amplement pour regretter d'avoir composer le numéro des secours.
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MessageSujet: Re: Y'a des jours où tout le monde à la gerbe... (libre)   Y'a des jours où tout le monde à la gerbe... (libre) EmptyDim 3 Mai - 6:37

Raphaëlle faisait partie des patients rebelles. La maladie n'arrange pas le caractère, et c'était la même chose en cas d'alcoolisme. Sans doute n'était-elle pas dans son état normal. En fait, je m'en fichais. Son nom, elle serait bien obligée de le donner au bureau des entrées, et de fournir les justificatifs d'ouverture de droits à une quelconque aide médicale, alors... son pouls était normal et bien rythmé. Je passais outre le mouvement d'humeur de mademoiselle pour lui dire :

- Si l'équipe médicale ignore ce dont vous souffrez, elle va devoir tâtonner plus longtemps, répondis-je à sa remarque peu engageante.

Je m'étais quasiment fait envoyé sur les roses, mais c'était le quotidien des gens comme moi. Même les infirmiers souffraient de cela. Se faire rabrouer alors qu'on se mettait au service des patients était récurrent. Quoique... la perspective de se faire dorloter à l'hôpital pouvait attirer certaines personnes, et Raphaëlle semblait vouloir entrer au club med... Sympa... J'avais lâché son poignet et la regardais calmement, observant ses pupilles dilatées, ses visibles crampes stomacales... et passais outre sa mauvaise humeur :

- Quels médicaments avez-vous mélangé à l'alcool ?

Raph' devait se sentir si mal... au point d'appeler les secours. La demande venait d'elle : quelle détresse la motivait vraiment ? je m'en fichais, mais c'était mon boulot. Ainsi quand l'équipe reviendrait, après quelque chose de beaucoup plus grave que ce dont souffrait la jeune femme, je pourrais déjà communiquer quelques renseignements. Bien qu'à mon avis, on aille tout droit à un lavage d'estomac, mais çà... elle s'en réjouirait plus tard. Inutile d'accentuer sa gentillesse pour le moment. Je souris gentiment, pour engager un lien qui pour le moment ne semblait absolument pas à l'ordre du jour.

- En quelle quantité ? vous vous souvenez ?

Probablement une peine de coeur, une déception, la solitude... La fille avait voulu ou en finir, ou juste passer une "bonne" nuit pour oublier. Franchement ? elle n'avait pas l'air suicidaire. Depuis combien de temps faisait-elle cela ? ou était-ce la première fois ? Je semblais imperturbable, malgré le ton employé par la patiente, calme et disponible, attentif et presque attentionné, un peu distant pourtant, car professionnel, sans être froid.
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MessageSujet: Re: Y'a des jours où tout le monde à la gerbe... (libre)   Y'a des jours où tout le monde à la gerbe... (libre) EmptyDim 10 Mai - 23:48


Raphael StarkHayden Mitchell
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L'aide soignant continua à poser tout un tas de questions à Raphael. Ses yeux se fermaient tout seul sans qu'elle ne pu faire quoi que ce soit. Et puis Mitchell l’agaçait. Elle avait envie de dormir tranquillement sans que personne ne l'embête.

- Laissez-moi dormir, dit-elle dans un soupir avant de sombrer dans un profond sommeil.

Spoiler:

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MessageSujet: Re: Y'a des jours où tout le monde à la gerbe... (libre)   Y'a des jours où tout le monde à la gerbe... (libre) EmptySam 16 Mai - 13:32

Au-moins, la réponse ne fut pas explosive. En fait, Raphaëlle ne se souvenait pas. C'était fréquent : on prenait ce qui nous tombait sous la main, des trucs donnés à un moment ou un autre par un médecin, et pas pris ensuite. Pourtant, niveau sanitaire, les consignes étaient strictes : on passait à la pharmacie et on en ressortait avec le nombre de cachetons exacts nécessaires à la guérison. Si ce n'était pas assez, on retournait chez le doc'. Malgré les lois, cependant, certaines personnes arrivaient à capitaliser leurs pilules, comme cette patiente, on dirait. J'observais ses paupières se faire de plus en plus lourdes : la fille tombait peu à peu dans les vapes, un endroit confortable quand on avait les idées noires. Elle ne tentait rien pour s'en échapper... Mais moi, je devais la tenir éveiller, je suppose, pour lui éviter un coma plus ou moins profond. Dans le couloir, çà s'agitait toujours, on entendait les brancards rouler d'un bout à l'autre, avec du personnel courant autour. Mince ! çà devait être un sacré carambolage ! Une infirmière passa le nez dans le box :

- Comment çà se passe ?

Je me tournais pour répondre :

- Somnifères, ou antidépresseurs, la patiente ne s'en souvient pas, ni en quelle quantité. Elle se calme, là, on dirait qu'elle va sombrer... sinon, les constantes sont pas mal...

- Tenez-là éveillée ! j'arrive dès que je peux !

Et l'infirmière disparut, me laissant avec ma patiente... je me retournais vers elle, avec mon sourire le plus mignon pour lui dire :

- Je crois qu'on va devoir rester ensemble un petit moment, on dirait...

Je me grattais lentement la joue, deux fois, en penchant un peu la tête. Pas charmeur, plutôt sympa. J'avais une chance sur deux que çà marche. Sinon, soit elle pétait un câble, soit elle partait faire dodo. Je ne voulais ni l'un, ni l'autre. Mon visage s'approcha un peu du sien, puis recula. Mon index se positionna à environ vingt centimètres de son nez :

- Suivez mon doigt, s'il vous plaît...

Je le déplaçais lentement de droite à gauche, de haut en bas, puis en cercle, d'un côté, puis de l'autre. Ensuite, j'approchais et éloignais mon doigt, épiant les réactions de son regard, de ses pupilles. La tenir éveillée, l'occuper, voilà mon rôle. Et vider sa pisse et son dégueulis, au cas où...

- Comment vous sentez-vous à présent ?

Au cas où elle éprouve quelques difficultés à me répondre, j'aidais un peu en donnant quelques pistes :

- Vaseuse ? inquiète ? envie de dormir ? de manger ou boire quelque chose ?...

La liste n'était pas exhaustive, mais la voix suivait toujours le même ton doux et prévenant que j'avais en bossant, au contact des malades ou des blessés. Cette fille n'était pas une junkie, non, c'était vraiment occasionnel. Et elle ne voulait pas se suicider non plus, sinon, elle n'aurait pas appelée. Non, elle voulait qu'on s'occupe d'elle, qu'on l'écoute ! sauf que là, elle s'enfermait dans sa mauvaise humeur... tout était contradictoire dans son comportement...

* Difficile de l'aider dans ces conditions... *

Franchement, là, mon boulot tenait plus de celui de vétérinaire...
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